Vous êtes infirmier ou infirmière depuis quelques années et vous ressentez le besoin de vous remettre à niveau ? Le BSc Nursing Top-Up de Curtin Mauritius est exactement ce qu’il vous faut ! Et si vous avez raté la rentrée des cours en février 2023, vous pourrez vous rattraper pour la prochaine admission en juillet. D’une durée d’un an à temps complet ou deux ans à temps partiel, cette formation est destinée aux blouses blanches qui détiennent déjà un Diploma de Nursing et qui sont dûment enregistré avec le Nursing Council of Mauritius. « Le but étant de leur offrir la possibilité d’acquérir des connaissances approfondies à travers un diplôme de Curtin University et ainsi progresser dans leur carrière, » indique Shafiiq Gopee, Head of Learning and Teaching. Le cursus est divisé en quatre parties. Autour du pilier central, qui est la pratique clinique, on en trouve trois autres : la bio-science (l’anatomie, le fonctionnement du corps humain etc), l’aspect psychologique, et la recherche. Être passionné et avoir une approche bienveillante sont les maîtres-mots pour réussir ce cours et avoir une carrière épanouie. 

Pour plus d’informations, envoyez un courriel sur study@curtinmauritius.ac.mu

Le Business Review annuel, organisé le 16 février, a permis aux dirigeants et aux employés du groupe de réfléchir aux performances de l’année précédente et de fixer les orientations pour l’année à venir. Afin de permettre à un  maximum de collaborateurs de Maurice et de la Région de suivre l’événement, 80 d’entre eux étaient connectés par Teams en plus des cent personnes en présentiel au Hennessy Park Hotel. L’événement comprenait une série de présentations et de discussions axées sur des sujets tels que l’économie mauricienne et son impact sur Eclosia, la performance financière des entreprises du groupe, des concepts économiques complexes au premier abord, expliqués en vidéo, entre autres.  

Les participants, principalement des managers ont quitté l’événement avec une meilleure compréhension des priorités et de l’orientation stratégique de l’entreprise. Des informations qui sont ensuite retransmises aux équipes. Comme après chaque Business Review, un sondage est effectué afin de cerner les attentes des participants pour le prochain exercice. Cette année, les participants sondés se sont dits particulièrement positifs (93%) après la Business Review, motivés et confiants. 43,6% ont apprécié l’analyse du contexte économique présentée par Gilbert Gnany, Chief strategy officer & Executive director de la MCB, et 27% ont aimé la présentation des grands sujets groupe. Les suggestions pour améliorer le prochain exercice sont notés. Parmi elles : une simplification de la partie économique, une meilleure répartition des séances questions-réponses et un sujet sur comment attirer de jeunes talents. 

Pourquoi est-il important de renouveler cet exercice chaque année ? Cela permet à plusieurs managers de présenter leurs domaines d’activité respectifs, de discuter des progrès réalisés au cours de l’année écoulée et de souligner les objectifs clés pour l’année à venir. Les présentations ont couvert une gamme de sujets, y compris ceux qui sont en phase de concrétisation comme le RSE et le DEI (Diversité, Equité et Inclusion), mais aussi ceux dans lesquels le groupe progresse à grands pas, comme la franchise. Le focus sur la Région a quant à lui permis de mieux situer les entreprises régionales et de mieux connaître les challenges des collaborateurs qui les dirigent.  

Tout au long de l’événement, des séances questions-réponses  ont permis aux participants de poser des questions et de partager leurs points de vue sur les performances et l’orientation stratégique de l’entreprise. Dans l’ensemble, l’examen annuel des activités a fourni un aperçu complet des performances des entreprises au cours de l’année écoulée et a permis de faire le point sur les grands sujets qui touchent l’ensemble des entreprises du groupe.

Maya de Salle, Cultural Project Manager, a assuré en janvier la première d’une série d’ateliers culturels à des employés des hôtels du groupe. Cela, pour leur permettre de mieux connaître les cultures et les traditions de chaque communauté qui compose la société mauricienne.  Car en tant qu’employés d’hôtels, ils sont souvent sollicités par les touristes qui souhaitent mieux comprendre Maurice, les coutumes et les traditions de ses habitants. Et comme cette première rencontre a coïncidé avec la Fête du Printemps, les employés du Hennessy Park Hotel ont eu droit à un atelier sur la culture et la migration chinoises. Tout cela à la sauce Maya, ponctué d’anecdotes et de tranches de vie. 

Comment les sino-mauriciens fêtent-ils le nouvel an chinois ? Que font-ils de particulier ? « Quinze jours avant la fête, la maison est nettoyée de fond en comble et le Jour J, on évite de toucher le balai car ça porte malheur.  Le meilleur dans tout ça c’est la variété des plats qu’on prépare. Pas moins d’une dizaine ! » affirme une des participantes, ravie d’avoir appris des choses nouvelles. Pour Mégane Thomas, l’histoire de la migration des Chinois à Maurice alors sous la colonie britannique et la structure familiale sont deux aspects qui l’ont le plus intéressée.  « Je ne savais pas qu’il y avait 133 clans à Maurice ! » 

De China Town à Port-Louis, où ils s’installent à leur arrivée, les commerçants chinois iront ouvrir de petites boutiques dans les camps sucriers, ce qui va grandement aider les travailleurs engagés indiens en leur fournissant des provisions et des produits de première nécessité.  China Town est connu dans les années 1950 pour son quartier commerçant animé, ses salles de jeu, ses opiumeries et ses salles de fêtes. Il s’éteint petit à petit et est délaissé par les jeunes qui lui préfèrent d’autres agglomérations plus modernes. C’est sans compter un petit groupe d’irréductibles, la New China Town Foundation, qui ambitionne de faire revivre la ville fantôme.  

En ce moment, l’atelier culturel aborde la migration indienne.

Quels ont été les challenges de ce début d’année, après le rush des fêtes de fin d’année 2022 ? 
Pour les fournisseurs et les distributeurs alimentaires, ce début d’année a été plus tranquille avec moins de ventes. Les consommateurs ont poursuivi leurs achats les premières semaines mais les supermarchés ont utilisé les stocks restants de décembre pour répondre à cette demande.  

Pour les équipes de Panagora, le challenge principal a été de prendre un peu de repos sans perdre de vue la dynamique de vente.  

Cette année, les inondations de fin de mois de janvier ont ajouté une dose d’incertitude et nous ont obligé à repenser notre planning de livraison. J’en profite pour remercier mes collègues de la Logistique pour leur agilité ! 

Les consommateurs sont de plus en plus attentifs aux prix et demandent en même temps une grande variété de produits. Comment relever ce défi aujourd’hui ? 
Plus de produits à moins cher ! C’est simple à dire mais complexe à faire. Nos prix reflètent la qualité des produits, et l’investissement en ressources et en main-d’œuvre. On ne peut donc pas décider de baisser tous les prix par magie… 

De plus il n’est pas toujours évident pour Panagora de trouver de la place en rayon pour de nouveaux produits ou d’autres marques même moins chères, étant donné la popularité de nos marques existantes.  

Dans ces circonstances, nous pouvons tirer une certaine fierté de la réussite des Yoplait aromatisés ou encore de la bonne performance de Cuisto, qui proposent de bons produits à des prix plus abordables.  

Les coûts des intrants, notamment la main-d’œuvre, matières premières et énergies, augmentent. Quelles sont les solutions envisagées ?  
En tant que distributeur, nous sommes au carrefour des contraintes. D’une part, nos fournisseurs voient leurs coûts de production augmenter et n’ont pas forcément les moyens, après les crises de Covid successives, d’absorber ces variations. D’autre part, les consommateurs réclament, à juste titre, un ralentissement de l’inflation.  

Panagora n’a pas d’influence sur les drivers de cette situation. Nos actions sont donc nécessairement palliatives, principalement sous la forme de campagnes promotionnelles. Même si ce n’est pas une solution parfaite, on ne peut que constater l’engouement soutenue des consommateurs pour ces actions.

19h30, KFC de Cascavelle, cinquième jour de tournage. Une animation particulière règne dans le restaurant : des vêtements sur un porte-manteau, quelques jeunes habillés ultra tendance et des équipes de Circus qui bourdonnent autour d’eux … Ils font partie de la quarantaine de jeunes, sélectionnés après un casting, qui figureront dans la pub « Be yourself » conçue pour les 40 ans de KFC à Maurice.  

A leur arrivée, Danitza, Roan, Chanel, Jordan et Fabrice, les acteurs, sont chouchoutés : maquillage, coiffure, essayages…Comme des stars de cinéma ! On est aux petits soins pour les mettre dans les meilleures conditions : « C’est impressionnant de se retrouver face à une équipe de tournage – réalisateur, ingénieur du son – alors on fait tout pour les mettre à l’aise », indique Kelvin Murday, Film director chez Circus. 

Gareth Pretorius, Creative director/Head of Audiovisual, vient discuter un moment avec eux et scrute leurs tenues. « Il faudrait encore un bracelet au poignet de Chanel », dit-il en s’adressant à l’accessoiriste. « Toi, Roan, avec ta casquette rouge tu as l’air d’un Beastie Boys et c’est un sacré compliment que je te fais là ! Maintenant détendez-vous, parlez, riez. Get the blood flowing ! » Une musique locale retentit et ils esquissent quelques pas de danse tout en faisant des blagues.  

Dehors, c’est une autre scène qui se joue.  On trempe l’asphalte où une partie de la scène sera jouée. Le reflet des lumières jaunes, rouges et mauves sur le bitume trempé sera du plus bel effet à l’écran.  Le parking est quasiment vide, tournage oblige, et les clients sont priés de passer leur commande à travers le Drive-Thru.  

Les techniciens s’activent. Quelques derniers ajustements et c’est le grand saut. Action, ça tourne ! Les prises s’enchaînent dans la bonne humeur, jusqu’à tard dans la nuit. Ensuite direction le KFC de Rose-Hill pour d’autres scènes.  

Rendez-vous dans quelques semaines. En attendant, découvrez en avant-première les photos du tournage.