TRAIT D'UNION

Le magazine du Groupe Eclosia

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LE SOMMAIRE DE VOTRE No.256

Rolph Schmid, Managing director – Indigo Group

« L’hôtel doit sa réussite à un personnel dévoué, engagé et compétent »

Le Labourdonnais Waterfront Hotel fête ses 25 ans. Qu’est-ce que cela représente pour vous ?

Avec cette pandémie et les restrictions qu’elle a imposées, cet anniversaire nous fait du bien. Pendant vingt-cinq ans, cet établissement, le premier hôtel de ville de la capitale, a été témoin du développement de Port-Louis. Il a accueilli des convives de 183 nationalités différentes et a été le premier hôtel 5-étoiles ouvert à tous les Mauriciens. Le pari de Michel de Spéville était aussi risqué qu’audacieux. En 25 ans, la renommée du Labourdonnais a dépassé nos frontières. Cet hôtel a fait tomber les barrières sociales et reste un carrefour de rencontres entre les Mauriciens et les étrangers. C’est une grande fierté.  

Comment a évolué l’hôtel depuis sa création ?
L’hôtel a su fidéliser sa clientèle en offrant non seulement un service personnalisé mais en restant attentif aux détails. L’hôtel a connu quelques exercices de rénovation également. Ces investissements étaient nécessaires pour rester à la page ; pour que cet établissement garde son âme tout en restant moderne.  Le Labourdonnais a bâti sa renommée également sur ses restaurants gastronomiques. Nizam Peeroo, notre chef exécutif ne met pas seulement l’accent sur le raffinement dans ses mets, il aime surprendre les palais en allant chercher dans le détail ce qui va émouvoir le client. Depuis quelques années, conscients de l’attrait qu’exerce la capitale sur la clientèle étrangère, nous offrons un service de conciergerie culturelle pour celles et ceux qui sont avides de découvertes historiques et culturelles. 

Quels sont les enjeux pour cette année ?  
Il est essentiel de relancer la destination pour redonner confiance aux voyageurs. La hausse du coût de la vie a des conséquences au niveau local et mondial. La crise sanitaire a bousculé les habitudes. Nos clients sont plus vigilants car ils sont davantage conscients des conséquences de voyager loin sur leur santé et leur sécurité. Le pouvoir d’achat de notre clientèle de la restauration, composée à 90% de Mauriciens, a diminué. Plusieurs solutions sont à l’étude pour réduire les coûts d’opération de l’hôtel comme revoir les heures d’ouverture des restaurants et favoriser les produits locaux dans nos cuisines. L’hôtellerie de luxe a ses exigences et la première c’est de ne jamais transiger sur la satisfaction des clients.  

Quel regard portez-vous sur le recrutement et la fidélisation des salariés ?  
Les deux confinements ont donné à réfléchir à tous les salariés. Le secteur de l’hôtellerie a été lourdement impacté par la pandémie avec pour résultat un secteur devenu moins attractif. Pour rendre ses lettres de noblesse à notre secteur d’activités, il faut de l’engagement et il nous faut travailler ensemble. A Maurice, j’observe que les employés du secteur de l’hôtellerie ont un sens aigu du service. Ils sont dévoués et leur bilinguisme font qu’ils attirent les employeurs d’ailleurs. L’exode de nos talents fait du mal au secteur. Il faut donc tout faire pour les retenir. C’est pourquoi il est essentiel de revenir aux fondamentaux. Dans notre groupe, l’effort, la constance et la rigueur sont récompensés. Nous avons instauré des standards et des procédures qui permettent à chacun, et même à un nouvel employé de vite trouver ses marques pour être rapidement opérationnel. Les perspectives d’évolution dans chaque hôtel du groupe, existent. Nous sommes une entreprise à taille humaine dans laquelle chaque employé est valorisé.   

Dans le monde du travail, il n’y a rien de plus frustrant que de voir de l’injustice. Nous désignons l’employé du mois et l’employé de l’année. Ils sont récompensés et reçoivent un certificat lors d’une cérémonie. Il existe aussi le « Long-term Service Award » qui récompense l’employé après ses deux premières années de service. L’objectif est de le valoriser pour qu’il se sente bien chez nous.  

Pour terminer, je voudrais remercier nos employés et le management pour ces vingt-cinq années de dur labeur et de loyauté.  

 

PORT-LOUIS TELLE QUE VOUS NE l'AVEZ JAMAIS VUE...

« Balade exceptionnelle et d’expérience unique car on n’a jamais accès au port de cette façon »

La balade en catamaran dans le port avec Maya de Salle comme guide, n’a pas laissé les participants insensibles. Cette excursion a été mise en place dans le cadre des 25 ans du Labourdonnais Waterfront Hotel.  « Certains événements qui se sont déroulés dans le port ont marqué des clients venus en tour. Ils se souviennent du temps où les dockers portaient les sacs de sucre pour les mettre sur les chalands, des grèves dans le port dans les années 80 avec le combat des syndicats pour les compensations.  Ce sont des épisodes de notre histoire qui évoquent bien des souvenirs », affirme notre consultante culturelle.   

Plusieurs participants ont aussi apprécié cette balade car ils étaient passés par le port dans leur jeunesse : « Une dame se souvenait avoir pris le bateau pour son premier voyage en Afrique du Sud, et avoir passé le portique de la douane à l’époque. » D’autres ont découvert la rade sous un autre angle et ont décrit ce tour de « balade exceptionnelle et d’expérience unique car on n’a jamais accès au port de cette façon ».  

Certains trouvent que tous les Mauriciens et spécialement les écoles, devraient faire cette sortie car ils ont beaucoup appris sur l’histoire de Maurice. Enfin, nombreux sont ceux qui ont été très surpris par la pléiade d’industries implantées dans le port et qui ne sont pas visibles de la terre ferme.  Au niveau des portiques, c’est l’impressionnant ballet du déchargement des conteneurs et le mécanisme qui ont retenu l’attention. 

La nouvelle carte
du Yuzu est là !

La nouvelle carte du restaurant Yuzu Asian Fusion, au Labourdonnais Waterfront Hotel, est une surprenante découverte ! Le Chef Bevan Wilson propose le meilleur de l’Asie dans votre assiette, avec de nouvelles saveurs et une nouvelle présentation. Les spécialités japonaises, chinoises, thaïes et vietnamiennes sont riches en goût, délicieuses, épicées et mettent à l’honneur des produits comme la citronnelle, le basilic, le gingembre, le lait de coco, le tamarin, et les sauces à base de soja ou de poisson. 

Au niveau de la présentation, l’esthétisme est soigné. Le Chef Bevan Wilson et sa brigade ont travaillé le moindre détail. Une vraie merveille pour les yeux ! Vous a-t-on déjà servi des hors-d’œuvre baignant de vapeur dans des coffrets à bijoux ? On se sent tout à coup transporté vers de lointaines contrées japonaises ! Aux dim-sums qui ressemblent à des joyaux rivalise le fameux canard laqué nappé de sa sauce hoisin. Quant aux soupes, elles sont exquises ! On ne résiste pas à la soupe de gambas parfumée au combava et à la crème de noix de coco. Les végétariens ne sont pas en reste. Le Yuzu Bowl qui regorge de légumes finement découpés, de pois edamame, de tofu braisé et de champignons enoki, déborde de saveurs avec sa vinaigrette de sésame à la japonaise. Les plats s’accordent avec le thé servi comme un grand cru. Quant aux desserts et aux cocktails, ils en valent également le détour. A découvrir rapidement !

LA fÊTE dU PAIN 2022

Sous le signe
de la solidarité

Pour la 22ème édition de la Fête du Pain, Les Moulins de la Concorde a choisi comme thème « Le pain, ça se partage ». Cet événement annuel, qui aura lieu du 19 au 21 mai et dont les deux précédentes éditions se sont tenues en multimédia en raison de la pandémie, sera encore une fois tributaire des restrictions sanitaires qui perdurent. Selon la règlementation en vigueur, aucun rassemblement de plus de 50 personnes n’est autorisé.

LMLC a donc adapté l’événement aux circonstances. Il est organisé autour de deux axes : la solidarité et la transmission des métiers. LMLC s’associe à la chaîne de supermarchés Winners pour la confection et la vente des pains de partage. Pour chaque pain vendu, dont la recette a été élaborée par LMLC, un pain sera offert aux associations voisines des supermarchés. La recette de ce pain, imaginé pour l’occasion, sera d’ailleurs dévoilée sur les pages Facebook de Tasting et de la Fête du pain pour permettre à tout le monde de participer à cet élan de solidarité. Quant à LMLC, elle a prévu une distribution de pains à ses employés, aux hospices et aux bénéficiaires du CSR.  

Pour la partie transmission des métiers, des cours de perfectionnement, notamment avec Service à la Française, seront assurés par M. Pascal Tepper, Meilleur Ouvrier de France, président des concours de la Fête du Pain en 2019.

Une mini expo et des concours pour les apprentis de différentes institutions seront également organisés par l’Ecole hôtelière Sir Gaëtan Duval. Les apprentis devront réaliser des faratas, des sandwiches et montrer leur savoir-faire en matière de décoration de gâteaux. Pour valider leur parcours d’apprentissage, d’anciens étudiants de la Fournée des Moulins, recevront leur certificat NC3 pendant cette Fête du Pain.

LMLC poursuit également son engagement dans la lutte contre le gaspillage alimentaire. Des concours seront organisés autour de la valorisation du pain rassis. Thème qui sera repris à la radio de même que la solidarité, si importante par ces temps difficiles. Par ailleurs, afin de mieux faire connaître Les Moulins, des visites virtuelles qui sont en cours de réalisation, seront intégrées sur le site web de l’usine.

Par ici pour suivre l’événement : 

Fête du pain  | Blédor

Ça bouillonne d’activités chez Odysseo !

Plusieurs activités sont proposées chez Odysseo. Si vous ne les connaissez pas encore, c’est le moment de les découvrir. « Tout est fin prêt pour accueillir les visiteurs. Nous avons les installations et les équipements qu’il faut et le personnel a reçu les formations nécessaires pour mener à bien ces projets, » affirme Shakti Teker, Assistant head of education. Elle ajoute que l’oceanarium lancera bientôt l’activité « Sleep with the sharks ».

Dans la peau d’un biologiste marin

Une journée dans les coulisses avec l’un des experts marins et aquariste, ça vous tente ? L’activité « One day as a biologist » permet aux visiteurs de voir ce que c’est que de travailler chez Odysseo. Dans cet univers marin, toute une diversité de personnes interagit ensemble pour offrir un environnement sain aux animaux. Du nettoyage des bassins et de l’alimentation des poissons, aux tâches multiples des scientifiques, les biologistes marins et les aquaristes font un travail unique en leur genre ! De quoi créer des vocations pour les jeunes comme pour les adultes...

Les mardis et les jeudis de 7:30 à 15:00

Back of The House Visit

Assurer un environnement sain pour les animaux d’Odysseo est un véritable travail d’équipe combiné à un équipement technologique très performant. Pour en apprendre plus sur ce qui se passe en coulisses, il suffit de réserver un « Back of the house visit ».

Tous les jours de 9:00 à 16:30 Plus d’infos sur le 659 8000

Rencontre avec les requins

Les requins vous ont toujours fascinés ? Alors, plongez dans un des bassins à requins extérieurs. Les « Touch Pools » permettent de se rapprocher des squales, de les observer de près et d’en apprendre davantage sur eux. Les voir nager si près et le fait de les toucher, permettent de ressentir un lien avec ces animaux souvent incompris. Les biologistes marins aideront les visiteurs à mieux comprendre les menaces auxquelles les requins sont confrontés et à apprendre à mieux les protéger.

Les mardis et les jeudis de 14:00 à 15:00

Port-Louis Express spécial ECLOSIA

QUESTIONS À PIERRE ANDRÉ BOULLÉ, DIRECTEUR ACS :

« Un premier jeu de pistes riche en connaissances, partage et rebondissements »

Atelier Mural painting
Un nouvel espace ACS
coloré et vivant pour tous

Le 23 avril, ils étaient une quinzaine d’employés de différentes entreprises du groupe, à se réunir au Head Office, munis de pinceaux et de pots de peinture. Ojectif : embellir deux pans de mur vierges de la salle ACS, guidés par l’artiste Baba Gaïa, et les transformer en œuvre d’art mural.  

Il s’agissait de créer un nouvel espace sous la varangue ACS qui marie à la fois l’univers et l’imaginaire de Baba Gaïa et le paysage environnant : notamment le magnifique jardin de Benedicte et de Juliette et la rangée de montagnes en toile de fond.  

Ce nouvel ‘ACS corner’ sera aménagé selon les besoins : un lieu de détente aux heures de déjeuner, un coin cosy pour les Happy Hours et réunions informelles ou encore un cadre accueillant pour divers évènements et fonctions. En résumé, un espace ACS encore plus vivant et utile à tous.

Pourquoi le fret aUgmente ?

ranjoy neerohoo,

General manager de FTL, explique les facteurs qui contribuent à la hausse du coût du fret. La crise financière de 2008 a mis le secteur du fret à genoux résultant en moins d’investissements dans la modernisation des infrastructures portuaires américaines et la réduction des lignes maritimes. En 2020, la Covid-19 et les confinements ont davantage compliqué la situation. 

Le prix des commodités ne cesse de grimper. La dépréciation de la roupie, l’augmentation du coût du fret et maintenant la guerre en Ukraine sont les raisons avancées. Selon, vous quels autres facteurs sont concernés ?

Maurice, en tant que pays importateur, quelles solutions à long et court termes peuvent être mises en place ?

Jusqu’à quand
va perdurer cette situation ?

Quels conseils donneriez-vous aux PME qui doivent se sourcer en matières premières à l’étranger ?

Face à cette hausse constante des coûts du fret, la MEXA recommande l’affrètement d’un navire (Regional Feeder Vessel) pour Maurice. Pensez-vous que cela va solutionner le problème ? Pourquoi ?

Un petit extrait... pour vous donner envie de voir la suite !

UN NOUVEAU
FILM CORPORATE

Aurore Lamy-Chappuis, Corporate content manager et Yannick Mootoosamy, Senior project manager et directeur clientèle CIRCUS ! racontent l’aventure qu’a été la construction du nouveau film corporate du groupe Eclosia. A la satisfaction du travail accompli s’ajoute une expérience unique, pleine de surprises et de rebondissements.

Une prouesse
audio-visuelle !

On n’imagine pas la somme de travail derrière un film de dix minutes. Léquipe audiovisuelle de Circus ! raconte les challenges, les techniques utilisées et les imprévus.

Les challenges ? 
Le plus gros challenge a été de produire un film avec 16 entreprises du groupe. On a compté au moins dix tournages par entreprise sur une centaine de sites différents. Le tout pour un film d’un peu plus de dix minutes.  

Autre défi : la coordination de différentes parties prenantes tels les entreprises, les vidéographes, les éditeurs, les motion designers, les agents de casting, les narrateurs en voix off et bien d’autres professionnels.  

Enfin, Eclosia visait vraiment à mettre les gens en avant et à valoriser la qualité du travail fourni au sein de chaque entreprise. Ces standards ont été minutieusement contrôlés et améliorés au fil de nombreuses sessions pour produire ce film.  

De nouvelles techniques? 
Des techniques et des pratiques modernes ont été utilisées. Cela se reflète dans le travail de motion design effectué pour les différentes sections du film, la gamme de techniques et mouvements de caméra utilisés pour donner vie à ce film et les magnifiques prises de vue scéniques de drones réalisées pour presque toutes les entreprises. Plusieurs équipements sur mesure ont du être conceptualisés et construits pour le shooting des produits des entreprises tombant sous la section Nourrir du groupe.   

Une anecdote ? 
Pour le shooting de la farine de LMLC, un équipement spécial a été fabriqué pour faire jaillir la farine hors du packaging. Résultat : tout le studio et tous les équipements utilisés allant des stands, des caméras en passant par les ordinateurs ont été recouverts de farine. Cela nous a pris un jour entier pour tout nettoyer ! Nous avons heureusement pu respecter les délais de production malgré ce contre-temps. 

Geerish Hookoomsing
et Jason Maulette
Mentorat réussi au DRH

GEERISH HOOKOOMSING ET JASON MAULETTE MENTORAT RH RÉUSSI

Après six ans à la tête des Ressources humaines chez Panagora, Geerish Hookoomsing a laissé le gouvernail du département RH entre les mains de Jason Maulette. Désormais Head of Organizational Excellence chez Les Moulins de la Concorde depuis le 1er mars, Geerish Hookomsing affiche la satisfaction du devoir accompli

« J’ai toujours cru en l’être humain, en sa capacité et en son potentiel. J’ai transmis tout ce que j’ai appris, et je retourne tout ce que la vie, m’a donnée, c’est mon legs. Si j’ai fait une différence dans la vie de ceux et de celles que j’ai été amené à côtoyer, alors je suis heureux. » D’ailleurs, plusieurs jeunes qui ont débuté leur carrière avec lui, sont aujourd’hui des HRM dans plusieurs secteurs. L’un d’entre eux est le CEO d’une clinique des Plaines-Wilhems . Jason Maulette est un de ceux qui fait la fierté de Geerish.

Son nouveau poste chez LMLC, consiste à revoir le département RH et à accompagner la progression des collaborateurs au quotidien. Il a débuté sa carrière aux Madun Gujadhur QC Chambers où il s’occupait d’affaires industrielles et criminelles. Fin des années 80, il rejoint le département des ressources humaines de deux gros groupes textiles, avant de faire un saut vers une compagnie offshore chez Rogers et Valmet Ltd comme Administrative manager. Il occupe ensuite pendant plusieurs années le poste de DRH chez Naïade Resorts et Heritage Resorts. En 2016, il rejoint Panagora.  

Geerish Hookoomsing a été un DRH au contact du terrain. Il aime être proche de ses collaborateurs et a toujours apprécié la bonne entente qui règne entre eux. « C’est une équipe soudée et fière de travailler pour Panagora. » Pour lui, cela explique que les collaborateurs ont donné le maximum durant les deux premiers confinements. « Tous les employés ont travaillé d’arrache-pied durant cette période-là. Face à l’adversité, ils ne craignent pas de se retrousser les manches. Et c’est ce qui fait leur force, » dit-il non sans un pincement au cœur.

Mais il est heureux d’avoir passé le relais à Jason Maulette, maintenant Head of HR de Panagora.  « Je suis parti l’esprit tranquille. » Il ne tarit pas d’éloges sur le jeune homme de 33 ans, féru de mécanique et de bricolage, qui a rejoint Panagora en 2015 comme HR coordinator. « J’ai vu son potentiel. Il est brillant, appliqué, honnête et respectueux. »  

Telle une éponge, Jason s’est gorgé d’informations, de savoir-faire et de connaissances. Les négociations syndicales, la mise en place de l’entretien annuel (PMS), et bien entendu tous les obstacles administratifs à surmonter avec les autorités lors des deux confinements en 2020 et 2021 ont été pour lui riches en enseignement. Jason Maulette ne pouvait espérer mieux comme apprentissage.  

Il dit être allé à la bonne école. « Geerish a été un super coach, qui m’a fait confiance et m’a aidé à mettre les choses en place. Je l’ai aidé dans plusieurs projets. » La transition s’est faite en douceur. Jason Maulette a déjà plusieurs projets en chantier dont les plus importants sont le renouvellement de l’accord collectif avec les syndicats, la mise en place du Human Resources Information System (HRIS) et la formation des collaborateurs. Il a du pain sur la planche ! 

Belinda Rault, Group Talent manager :

« Le LEAD aidera les Managers à développer leurs compétences collaboratives et de leadership »

Vatel Business School s’associe à Charles Telfair Campus

Renaud Azéma, Fondateur
et General manager de Vatel  :
« Une magnifique opportunité ! »

Nouveaux espaces collaboratifs d’ETS

Quatre bonnes raisons
de travailler chez ETS.

Formation « Becoming more digital »

WE NOW
SPEAK DIGITAL !

La formation Becoming more digital, dont l’un des principaux objectifs est de permettre aux Managers du groupe d’acquérir une compréhension commune de ce qu’est la transformation digitale, a pris fin le 15 avril. What next ? Le chantier s’inscrit dans la durée selon Aurélie Duchenne, Leader Transformation Digitale. Il s’agit de construire la vision de la transformation digitale et des roadmaps  pour chacune des compagnies, d’animer la communauté de façon transverse et enfin de réaliser les projets. En attendant, qu’ont pensé les participants de cette formation ? 

ILS EN PARLENT

Julien Audibert,
General manager,
LMLC

J’ai trouvé cette formation très intéressante. Elle nous a permis de nous tenir au courant de ce qui se fait en termes de processus de transformation digitale chez plusieurs acteurs, grands comme petits. De connaître les outils disponibles à ce jour et que nous pouvons utiliser pour nous accompagner dans ce processus. L’idée est de voir comment repenser la digitalisation de notre entreprise, de nous poser les bonnes questions, les domaines où nous pouvons développer cela et le type d’approche à adopter pour y arriver.

Denis Claude Pilot,
Group Chief financial officer

Cette formation a été très enrichissante d’un point de vue personnel mais la plus grande force de cette formation c’est la mise en place d’une compréhension et langage commun au sein d’Eclosia. Nous avons clarifié les outils nécessaires pour accélérer notre transformation digitale. A nous maintenant de capitaliser dessus pour cette étape clé de notre développement.

Nadine Viger,
General manager,
ETS

J’ai trouvé cette formation très pertinente et structurante. L’utilisation d’une même terminologie (Business-Technology specialists) nous permet de mieux se comprendre et de mieux échanger. Mes principales leçons à retenir : un framework pour construire notre Roadmap Digital, les techniques de co-construction Business-Technologie, l’importance de développer une « Culture de l’agilité en entreprise » pour réussir sa transformation digitale, les challenges dont les managers auront à faire face.

Yannick Merven,
Chief finance officer,
Panagora

Au delà de la qualité du cours et des échanges, j’ai apprécié le mode de fonctionnement de cette formation pratique avec la possibilité de suivre les modules en ligne de façon autonome. L’objectif de clarifier ce qui se cache derrière le terme « transformation digitale » a été atteint. We now speak digital ! Reste maintenant à se poser les bonnes questions « business », dégager les ressources et trouver les partenaires adéquats pour mener à bien nos projets digitaux.

Junaid Muslun,
General manager,
Panagora

J’ai vraiment aimé le format et la qualité de cette formation. Les discussions étaient riches.J’ai appris plein de choses que j’ai hâte de mettre en pratique dans nos futurs projets. Les examens vers la fin étaient intéressants. Cela faisait un bout de temps que je n’y avais pas pris part.

Abdullah Motala,
IT manager
KFC

Le cours était très enrichissant, avec des spécialistes très clairs et justes dans leurs explications. Pour couronner le tout, nous avons eu l’opportunité de travailler sur des cas d’entreprises qui nous ont permis de mettre en avant les solutions présentées au cours de ces séances. Cela nous a permis de passer de la théorie à la pratique et c’était pour moi le point culminant de la formation. Je remercie Axel et son équipe pour nous avoir offert cette chance inouïe !

Natacha Rousset,
Innovation leader,
Avipro

J’ai trouvé cette formation super enrichissante, dynamique et intense. Elle m’a permise de mieux appréhender et de comprendre les principaux éléments d’une transformation digitale, et particulièrement le fait que tout doit commencer par un problème ou une opportunité business à identifier. Je trouve dommage que nous n’ayons pas pu échanger avec le formateur et le groupe sur le levier « Culture d’entreprise », car pour moi c’est un élément aussi important que les autres.

EN BREF

De nouveaux produits, des livres audios, une nouvelle méthode environment friendlypour se débarrasser des nuisibles. Cela fait du bien à soi et à la Terre, dont c’était la Journée mondiale le 22 avril.

Journée de la Terre 2022 :
plantons un jardin de fleurs !

Chez Avipro, cette journée à été marquée par un don de plantes à fleurs aux employés, les 27 et 28 avril.

Petits formats, gros avantages !

Cette fois, chez LFL, c’est le confort des consommateurs qui a été la source d’inspiration. En effet, depuis quelques temps, les sacs de provendes encombrants de 50 kilos ont été remplacés par des sacs bien plus maniables de 25 kilos.

Une nouvelle méthode thermique plébiscitée par LMLC

Connaissez-vous la toute dernière innovation dans la lutte contre les nuisibles ? Il s’agit d’utiliser la chaleur. Cette méthode comporte des avantages car elle respecte l’environnement et est sans aucun risque pour la santé.

Découvrez des Napoli…ssons 
chez In Vino !

Vous connaissiez les calissons d’Aix. Mais avez-vous entendu parler des napolissons ? Cette gourmandise mauricienne, dont le nom est une contraction entre napolitain et calisson, est fabriquée à base de melons confits, d’amandes blanchies, d’écorces d’orange confites et recouverte d’un fin glaçage.

DES HISTOIRES à faire écouter aux enfants !

Clémence Soupe, Fondatrice productrice et porteuse de projet chez les Sons de l’encre Ltd : « Le livre audio s’adresse à tous les publics et tous les âges » 

Comment s’est déroulée votre collaboration avec le groupe Eclosia sur le projet de production des livres audio ? 
Dans l’envie d’aller toujours de l’avant dans le projet de production des livres audios, j’ai souhaité me tourner vers différents sponsors possibles. Eclosia m’a répondu par la positive très rapidement. L’ambition du projet, qui est de promouvoir la littérature d’une façon alternative et notamment tournée vers la jeunesse, entrait en plein dans leur propre élaboration de projet. Mon univers leur correspondait ! Il a donc suffi d’une rencontre et la collaboration s’est faite.  

Vous êtes en train de mettre en format audio les livres d’auteurs mauriciens dont les contes de Shenaz Patel. What’s next ? 
La production de contes ou de livres audios en général demande du temps et un budget conséquent. Il faut donc encore un peu de temps avant de finaliser le recueil de Shenaz Patel. Dans l’idéal, la prochaine production sera cette fois-ci pour un public jeune ado/adulte. L’idée étant de montrer que le livre audio s’adresse à tous les publics et tous les âges. 

On peut donc mettre en format audio tous les genres littéraires ?  
Tous les genres peuvent être mis en format audio. Les contes pour enfants sont effectivement un modèle idéal car ils sont en lien direct avec la tradition orale qui tend à raconter une histoire porteuse de message, de morale et/ou d’avertissement. 
Mais le livre audio ne s’arrête pas uniquement à la littérature jeunesse. Il peut y avoir, selon moi, autant de livres audios que de livres papiers. Le secret reste la qualité d’écriture du texte mais également de la performance du comédien qui l’interprète. 

Comment a été accueillie la première production ? 
La toute première production du projet était « Un flamboyant Père Noël » de Fabienne Jonca & Iloe, lu par Tico Soopaya et mis en musique par Kan Chan Kin. L’accueil des enfants (et des grands enfants) a été bon ! Pour les petits jusqu’à 7 ans, il était difficile de s’approprier le texte car il était en prose. Mais la voix grave et chaleureuse du Père Noël et les musiques permettaient de s’immerger facilement dans l’histoire !  

Les Contes de l’île Maurice, la seconde production, ont été aussi très bien accueillis. La diversité des contes, des compositions musicales originales de Chris Arles et des performances à plusieurs voix de Guillaume Silavant et Rachel de Spéville ont permis cet accueil chaleureux dans les écoles et dans les maisons !

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On peut retrouver l’histoire de ce père Noël mauricien et les trois premiers contes autour de Tizan des « Contes de l’île Maurice » de Shenaz Patel sur la bibliothèque numérique de l’Institut français de Maurice : https://www.culturetheque.com/MU/ (abonnement gratuit pendant 1 mois)  ou sur vimeo.com : https://vimeo.com/ondemand/sonsdelencre

Port-Louis Express

Questions à Pierre André Boullé, Directeur ACS :
« Un premier jeu de pistes riche en connaissances, partage et rebondissements »

Qu’est-ce que Port-Louis Express et de quoi vous-vous êtes-vous inspiré pour ce jeu ?
On pourrait faire tout de suite référence à l’émission Pékin Express, ou à d’autres émissions télé qui associent jeux de piste et d’orientation, un sens de l’observation et d’esprit d’équipe, des indices à trouver et des défis à relever autour de l’histoire et de la culture. Port-Louis était le site idéal pour ce genre d’aventure. Nous sommes aussi parvenus à combiner l’utilisation des nouvelles technologies tels le décodage d’un QR code, la recherche d’informations en ligne et la prise de selfies, au riche parcours culturel proposé par Maya de Salle & My Moris au sein de trois quartiers emblématiques de la capitale : le Bazar Central, le Quartier de la Mosquée et Chinatown.   

Cette activité combine deux des piliers d’ACS, à savoir la culture et le sport. Pensez-vous que c’est ce qui explique son succès ? 
Certainement ! La chaleur aidant, l’expédition dans Port-Louis n’était pas de tout repos. Le parcours de 5 km nécessitait d’être relativement fit ! 

Les équipes ont été lancées avec un jeu d’orientation à la Rose des Vents sur l’esplanade en face du Labourdonnais. Dispersés dans toutes les directions, nos aventuriers ont découvert les multiples petits secrets qui se cachent au Caudan. Il fallait avoir l’œil ! Elles ont dû faire preuve de cohésion et de discernement afin de parvenir à conclure cette étape par un élixir tropical à l’Oasis, non loin de la statue de Seewoosagur. 

Où sont-elles allées ensuite ? 
Elles se sont dirigées vers la Place d’Armes pour un selfie avec Sir William en parodiant la ‘création d’Adam’ avant de nous rejoindre au Jardin de la Compagnie, non sans avoir, au préalable, visité et déchiffré les énigmes de l’Aepyornis et du Musée d’Histoire Naturelle. Celui-ci abrite aussi depuis peu la galerie des anciens combattants mauriciens des deux guerres mondiales.   

 

La dernière partie de l’étape était apparemment ardue mais très enrichissante… 
A la fin de cette étape, direction les trois quartiers, pour de nouvelles épreuves et découvrir par exemple, le svastika de la Mosquée, Mr. Chu et sa spécialité, les Street Arts de Chinatown, la pagode Lawkwanthion, les épices du cari Masala, les sirandanes du bazar … pour terminer finalement par un jeu de piste qui les a conduits à la montée et aux marches interminables de Fort Adelaïde, plus connue comme La Citadelle. 

Est-ce qu’une deuxième édition est prévue ? 
Oui, nous y pensons déjà, mais ça c’est un secret bien gardé ! Rendez-vous l’année prochaine !

Le prix des commodités ne cesse de grimper

La dépréciation de la roupie, l’augmentation du coût du fret et maintenant la guerre en Ukraine sont les raisons avancées. Selon, vous quels autres facteurs sont concernés ? 

Pour vraiment comprendre la situation actuelle de flambée des prix, il faut revenir plusieurs années en arrière. L’industrie du transport maritime par conteneur a connu une croissance hors normes (x8) entre les années 90 et 2000.  

Puis la crise financière de 2008 a mis à genoux ce secteur, aboutissant aux démantèlements de certaines lignes maritimes et à la réduction drastique de construction de navires.  

En parallèle, les grands ports américains n’ont pas investi dans la modernisation de leurs infrastructures. Ils se sont retrouvés à ne plus pouvoir gérer les flux de plus en plus importants.  

Moins de bateaux, moins de lignes et des ports vieillissants… tout ce système est paralysé début 2020 par la Covid et les confinements.  Depuis, la reprise s’est faite de manière inégale, notamment via des programmes de relance en Asie et aux USA.  

Tout le système est comme grippé avec des pénuries de conteneurs au moment même où la demande repart. L’Europe et les USA se sont mis à importer des volumes nettement supérieurs d’avant la Covid pour refaire les stocks. Ce changement de flux soudain a aggravé la situation. L’Amérique du Nord est actuellement confrontée à un déséquilibre effarant et sur 100 conteneurs qui arrivent, seuls 40 repartent. 60 conteneurs sur 100 continuent de s’accumuler, réduisant ainsi l’offre globale. 

Maurice, en tant que pays importateur, quelles solutions à long et court termes peuvent être mises en place ?

La situation actuelle va perdurer, avec des risques de rupture et des « lead times » variables selon les ports d’origine. A court terme, il est urgent que les opérateurs de tous les secteurs repensent leur approvisionnement en considérant ces facteurs.  

 A long terme, cela fait 10 ans que la compétitivité de notre port baisse. Malgré des investissements colossaux, Port Louis est aujourd’hui moins productif que La Réunion et Tamatave. En conséquence, nous sommes desservis par moins de lignes maritimes et notre approvisionnement est plus vulnérable.  

 Il nous faut donc une stratégie nationale pour réduire notre dépendance aux matières premières et aux produits importés de pays très éloignés. Cela devrait aussi passer par des changements d’habitudes au niveau de notre alimentation.

Jusqu’à quand va perdurer cette situation ?

La construction de nouveaux porte-conteneurs a été massivement relancée… mais ceux-ci ne seront pas prêts avant 2023, voire 2024. Les taux de fret vont certes se stabiliser, et peut-être baisser d’ici 2024. Mais il est certain qu’ils ne seront plus au niveau de fin 2019.  

La fiabilité des services continuera pour sa part à être impactée pour encore au moins 2 ans, à condition que nous n’ayons pas à faire face à une nouvelle pandémie ou d’autres catastrophes… mais restons optimistes ! 

Quels conseils donneriez-vous aux PME qui doivent se sourcer en matières premières à l’étranger ?

Les entreprises sont obligées de prévoir un ‘buffer stock’ suffisant afin de palier à des pénuries et retards de productions. Malheureusement, cela demande une trésorerie solide que les PME n’ont pas toujours. Il faut penser à de nouveaux systèmes de soutien financier, peut-être via l’Etat ?

Face à cette hausse constante des coûts du fret, la MEXA recommande l’affrètement d’un navire (Regional Feeder Vessel) pour Maurice. Pensez-vous que cela va solutionner le problème ? Pourquoi ?

Un service de fret régional qui fonctionne requiert plusieurs navires. C’est une solution possible mais elle n’est pas forcément viable avec les volumes régionaux actuels.  

Dans les années 2000, un projet de ce type avait déjà été mis en avant. Plusieurs lignes maritimes, internationales comme régionales, ont opéré des services de cabotage entre les iles de l’Océan Indien, et desservant même quelques ports d’Afrique de l’Est. Le plus souvent, ces services ont roulé à perte.  

Si on veut que cela marche, il faut que le Regional Feeder Service fasse partie d’une stratégie régionale pour augmenter le commerce entre nos pays, sous l’égide de la COI par exemple.

Le nouveau film corporate est dans la boîte ! Quel a été le point de départ de ce projet ? 
En fait, on avait deux besoins différents. D’un côté, un film qui donne une vue d’ensemble d’Eclosia, de l’autre, plein de petits films qui expliquent la mission et les activités de chaque entreprise. On a donc décidé de trouver une solution commune à ces besoins en faisant un film corporate composé de petites pilules que chaque entreprise peut récupérer et utiliser indépendamment. 

Pourquoi était-ce important de le refaire ?  
On avait déjà un film qui avait été bien pensé. L’ennui c’est qu’il avait un peu vieilli visuellement et que les entreprises et le groupe avaient changé en quelques années. Il fallait donc faire une update des infos, revoir la structure, et donner un coup de jeune ! On avait aussi envie que ce film reflète l’histoire d’Eclosia, ses valeurs et des engagements et la mission de chaque entreprise. Et puis, comme on était en train de refaire notre site web en parallèle, on souhaitait que ces deux éléments corporate aient une cohérence graphique. 

Quels ont été les principaux challenges ? 
Ouf ! Il y en a eu… A un moment je me suis demandé si on n’était pas frappé par une malédiction ! Blague à part, on savait dès le départ que ce serait difficile. Raconter une histoire, simplement, tout en restant dynamique… Sur le papier c’est simple mais la réalité est plus complexe. En écrivant le script, il a fallu faire des choix : garder l’essentiel, rester fidèle aux entreprises, faire le plus court possible. Pendant le tournage, c’est la Covid qui ne nous a pas aidé. Il faut dire que le projet a été lancé en février 2021. Entre le confinement et les restrictions sanitaires qui ont perduré longtemps, il a fallu jongler et avancer petit bout par petit bout jusqu’en septembre où les choses se sont un peu assouplies. Mais comme dans toutes les histoires de malédiction, il y a une bonne fée… Ici, elle s’appelle Yannick. En consultant les équipes de Circus, et en gardant un calme à toutes épreuves, il a su nous proposer des solutions efficaces et pour ça, bravo, et merci ! 

Une anecdote ou un fait marquant à raconter ? 
C’est le jour où le premier tournage est lancé, tout le monde est excité, ça se concrétise ! Et le lendemain tu reçois ce mail : une personne de l’équipe est positive… Tout le monde isolé ! 

Et le résultat alors ?  
Top ! Le résultat est à la hauteur de nos attentes ! On a un film dynamique, actuel, qui répond à notre brief et à nos besoins, avec en prime de très belles images qui mettent en valeur les entreprises. Et le bonus, une musique qu’on adore ! Le résultat est aussi personnel et c’est aussi tout ce qui s’est passé dans le processus : pour moi, c’est une connaissance plus approfondie des entreprises, l’occasion de rencontrer plein de collègues que je n’aurais pas vus autrement, l’occasion aussi de collaborer plus étroitement avec Circus et de mieux comprendre leur environnement… Et d’apprendre une chose essentielle : la patience. 

Pour CIRCUS ! c’est mission accomplie ! 
Avec le film corporate d’Eclosia, CIRCUS ! souhaitait raconter l’histoire et le parcours d’un groupe pas comme les autres dont l’origine est celle d’un entrepreneur, porté par un élan patriotique avec l’objectif de contribuer à la sécurité alimentaire de Maurice.  

L’enjeu du film, affirme Yannick Mootoosamy, Senior project manager et directeur clientèle CIRCUS ! , était par ailleurs de montrer l’évolution du groupe au travers de sa diversification et de présenter chacune de ses entreprises sous les piliers du groupe, à savoir Nourrir, Servir et Faire grandir.  

« Si le film reste instructif et riche d’informations, le challenge était de le concevoir et de le réaliser de façon à garder l’attention de l’audience pendant plus de dix minutes, car présenter le groupe et ses 16 compagnies, c’est long ! » 

La narration était d’autant plus importante car elle allait dicter le rythme du film. Il était également essentiel pour l’agence de garder une cohérence dans le style graphique pour refléter l’esprit d’innovation, d’entreprenariat et de créativité qui caractérise le groupe.  

« La réalisation et production de ce film a été possible grâce à la contribution de l’ensemble des membres de notre équipe audiovisuelle. De la création d’une composition originale par notre ingénieur son, aux vidéographes et monteurs, en passant le motion designer jusqu’au producteur pour toute la logistique », poursuit Yannick Mootoosamy.

Qu’est-ce que l’Eclosia LEAD Programme ? 
Le LEAD Programme signifie Leverage, Engage, Adapt, Develop. C’est un « Management Development Programme » d’une année qui a été co-crée avec CTC Leadership Centre et fait sur mesure afin de répondre aux besoins spécifiques d’Eclosia. Au menu, 12 modules couvrant des sujets qui visent à aider le participant à mieux se connaître en tant qu’individu et leader.   

Les Leadership Competencies d’Eclosia constituent le socle de ce programme.  Au terme des 12 mois, les participants auront appréhendé de façon pragmatique, les 5 grandes familles de compétences dans notre Leadership Competency Framework. Du fait qu’il s’agisse d’un programme personnalisé pour le groupe Eclosia, nos CHRO et CFO s’inviteront respectivement sur les modules « Human Resources Management at Eclosia » et « Finance for Non Finance Managers » et échangeront avec les participants sur les pratiques propres au groupe.

Quels sont les objectifs ? 
Ce programme, bien étoffé, permet aux participants de développer leurs compétences collaboratives et de leadership qui les feront atteindre, eux, ainsi que leur entreprise, de nouveaux sommets. Le développement des compétences en leadership est essentiel pour pouvoir progresser dans un environnement de plus en plus complexe et volatil. Des débriefing post formation se tiennent ensuite au siège et sont animés par des cadres supérieurs d’Eclosia, tous experts dans leur domaine de prédilection. Ces débriefs sont des espaces de partage de connaissances et d’expériences professionnelles. Les échanges sont riches et passionnants. L’objectif est d’accompagner les participants dans la mise en application immédiate des compétences nouvellement acquises dans le programme Eclosia LEAD. 

A qui s’adresse-t-il ?  
Le LEAD Programme est destiné aux Managers d’Eclosia et chefs d’équipes. Nous avons dans la première cohorte de février 2022, un groupe de 14 Managers. Dix entreprises du groupe y sont représentées. Le prochain programme démarrera en février 2023.  

Myriam Blin, Head Charles Telfair Centre & Leadership Centre : “Le CTC est heureux de se positionner avec Eclosia dans le créneau des programmes seniors »

Le CTC est ravi de relever ce nouveau défi et de débuter cette nouvelle aventure avec Eclosia ! Le LEAD permet à CTC d’entrer sur le marché des programmes seniors, un marché qui était jusqu’ici essentiellement occupé par des écoles de commerce françaises ou sudafricaines à Maurice. La grande force du LEAD, c’est qu’en rassemblant dans une même salle des personnes qui appartiennent au même groupe mais qui font partie d’entités très différentes, cela crée une communauté et des synergies uniquesLes participants vont aborder une variété de modules dont l’expérience client, la gestion du capital humain, la finance, la maîtrise du digital, mais également tout ce qui est compétence créative, entre autres.

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Vatel Business School s’associe à Charles Telfair Campus

Ça y est ! La nouvelle est tombée. Vatel Business School fait désormais partie de la famille CTC. L’école hôtelière vient de nouer un partenariat stratégique avec Charles Telfair Campus dirigé par le Dr Jeremy Charoux. Ce dernier se dit heureux de collaborer avec cet établissement d’enseignement hôtelier et touristique reconnu internationalement : « Vatel, qui porte haut les couleurs de l’excellence hotellière à la française, a été l’un des pionniers de l’enseignement de l’hôtellerie et du tourisme à Maurice et apporte à ses étudiants une pédagogie et un enseignement pratique de qualité avec un réseau mondial impressionnant. » 

Ce partenariat permettra à Vatel Business School de renforcer sa position de leader après 12 années de croissance. Fondée et dirigée par Renaud Azema depuis 2009, Vatel Business School fait partie d’un réseau de 50 écoles à travers le monde. De 15 élèves à plus de 360 aujourd’hui à Maurice, Vatel a pour ambition de continuer à soutenir le secteur du tourisme localement et à l’international. « La pandémie a démontré l’importance stratégique du secteur touristique à Maurice et nous pensons que le partenariat avec Charles Telfair Campus, en tant que pionnier de l’enseignement supérieur à Maurice, permettra à Vatel de poursuivre son expansion. Ensemble, nous avons à cœur d’œuvrer aux côtés de nos partenaires de l’industrie hôtelière pour garantir la réputation de Maurice en tant que destination touristique », affirme Renaud Azema, fondateur et General manager de Vatel Business School.

Questions à Renaud Azéma, Fondateur et General manager de Vatel : « Une magnifique opportunité ! »

Quel est votre sentiment sur ce partenariat, comment le vivez-vous ? 
L’entrée d’Eclosia, à travers Charles Telfair Campus au capital de Vatel Mauritius est une magnifique opportunité. Opportunité pour le groupe Vatel qui trouve un partenaire solide et déjà engagé dans l’éducation. Opportunité pour nos étudiants qui devraient rapidement bénéficier des synergies que cette association va permettre. Opportunité pour le groupe, qui associe à Curtin une autre grande marque international. 

Opportunité enfin pour l’ile Maurice qui s’assure de la pérennité d’une activité très structurante pour son économie. Ce partenariat est pour moi une reconnaissance du travail accompli au cours de 13 années de présence de Vatel à Maurice. Je le vis donc très bien et je suis même fier d’avoir suscité cet intérêt de la part du 5e groupe économique mauricien.

Comment a été accueillie la nouvelle parmi vos étudiants et les partenaires de Vatel ? 
Tous les retours que j’ai reçus sont très positifs vis-à-vis de cette évolution. Eclosia est un groupe dont la bonne gouvernance et les valeurs sont reconnus. Nous bénéficions de ce crédit supplémentaire et je n’ai pas de doute que les mois à venir donneront encore plus de confiance en notre institution. 

Vous gardez les rênes de l’institution, mais quel sera votre nouveau rôle à présent ? 
Mon nouveau rôle sera de faire à nouveau ce que je faisais de mieux avant que je ne sois contraint de passer du temps à gérer les aspects administratifs inhérents au fonctionnement de notre école. Nous avons débuté avec 15 étudiants en 2009. Nous en avons plus de 350 cette année, malgré une décroissance de nos effectifs due au Covid et au changement de calendrier scolaire.  

Avec le temps, je me suis éloigné du terrain pour laisser à mes collaborateurs les soins de gérer les relations avec nos partenaires. Je vais donc renouer avec cette pratique et renforcer encore notre proximité avec l’industrie. 

Nous avons aussi depuis quelques années une stratégie d’ouverture sur l’internationale, ce qui nous semble une obligation compte tenu de l’exiguïté du marché local en termes d’étudiants. 

Je vais donc me repencher sérieusement sur le recrutement international. 

Enfin, mes longues années dans le secteur m’ont permis de nouer des relations avec des personnalités qui pourraient devenir des partenaires de choix pour Vatel et pour l’Ile Maurice. 

Je vais donc m’employer à donner du sens à ces relations tout en continuant à renforcer la pertinence de nos programmes au service d’une industrie dont les besoins évoluent. Tout cela nous permettra d’amener Vatel à un niveau supérieur à celui que j’ai atteint à ce jour avec mes équipes. 

Il y a donc vraiment de quoi se réjouir. 

Quatre bonnes raisons d’y travailler

Parce que le bâtiment a une valeur historique pour le Groupe
Avant d’abriter les bureaux d’ETS, le bâtiment a eu plusieurs vies. Premier Processing plant du groupe Eclosia, il a ensuite été transformé en usine. Le premier pot de yaourt Yoplait de Maurilait a été produit dans ces locaux. En 2005, le bâtiment accueille les employés de New Edge. Les équipes sont alors cloisonnées dans des espaces inadaptés. En 2018, il est alors décidé de repenser le bâtiment afin d’offrir aux employés un environnement de travail dont ils peuvent être fiers.

Parce que c’est un bureau fonctionnel
Spacieux, ouverts et lumineux, ces nouveaux environnements professionnels encouragent la communication, la réflexion, la créativité, et la productivité. « L’objectif est de rapprocher les membres d’une même équipe, mais aussi des équipes différentes lorsque cela s’avère nécessaire. Dans notre monde informatique, il faut privilégier la collaboration, car ce sont ces équipes qui vont apporter les innovations ensemble. Cela favorise également la transmission de connaissances entre les collaborateurs les plus chevronnés et les autres moins expérimentés », affirme Nadine Viger, General manager ETS.

Parce que c’est un condensé de technologie
Les outils de travail légers et facilement transportables s’adaptent à la mobilité des employés, ce qui s’avère très utile lorsqu’on est en Work From Home. Par exemple, les « soft phones » connectés ont remplacé les traditionnels postes de téléphones encombrants. Bien entendu, les collaborateurs étant équipés d’outils digitaux connectés, cela favorise également la coopération entre les employés où qu’ils soient.

Parce qu’il y a des espaces de travail variés
Chez ETS, on trouve aussi une diversité des espaces de travail. Des salles de réunion de différentes tailles, des espaces d’échanges informels, des salles de brainstorming, d’autres où on peut s’isoler s’il faut être tranquille un moment, des salles de formation, des coins café et des salles à manger modernes et aérés sont mis à la disposition des salariés.

 

Journée de la Terre 2022 : plantons un jardin de fleurs !

Dédiée à l’environnement et célébrée dans des centaines de pays, la Journée de la Terre a eu lieu le 22 avril. Une occasion pour les citoyens de réfléchir aux dommages infligés à la planète et aux mesures à prendre pour la préserver. Chez Avipro, cette journée à été marquée par un don de plantes à fleurs aux employés, les 27 et 28 avril. Les fleurs sont importantes à la survie des insectes pollinisateurs, si essentiels pour l’agriculture et pour le maintien de la biodiversité. En plantant un jardin de fleurs, on les aide et les protège.  

« Chaque année, nous proposons une activité différente. Comme nous avions une variété de boutures de plantes à fleurs comme des rosiers et des hibiscus, entre autres, nous avons pensé en faire don aux employés pour que nous ayons tous un jardin de fleurs », explique Caroline Avrillon.  

Les fleurs, ajoute-t-elle, aident à fournir un habitat et de la nourriture aux insectes. Les insectes à leur tour, jouent un rôle primordial dans la reproduction de plantes par la pollinisation.  

Nouveaux sacs de 25 kilos chez LFL 
Petits formats, gros avantages ! 

On dit souvent que les entreprises innovent pour conquérir de nouveaux marchés. Cette fois, chez LFL, c’est le confort des consommateurs qui a été la source d’inspiration. En effet, depuis quelques temps, les sacs de provendes encombrants de 50 kilos ont été remplacés par des sacs bien plus maniables de 25 kilos.  

C’est un véritable soulagement pour le dos ! Plus légers et faciles à manipuler, le remplissage des mangeoires se fait rapidement et sans effort. Il faut savoir que sur certaines fermes, les élevages se situent en hauteur et il est difficile d’avoir accès aux mangeoires. Avec des sacs moins lourds, cette opération se fera plus aisément, sans avoir à jouer aux équilibristes. Enfin, pour l’entreprise, cela comporte aussi des avantages : les commandes passées deviennent plus précises et les volumes produits sont spécifiques aux besoins des clients.

Opération désinsectisation
Une nouvelle méthode thermique plébiscitée par LMLC

Connaissez-vous la toute dernière innovation dans la lutte contre les nuisibles ? Il s’agit d’utiliser la chaleur. Cette méthode comporte des avantages car elle respecte l’environnement et est sans aucun risque pour la santé. De plus, ce qui n’est pas possible avec une fumigation, on peut faire un traitement thermique sur certaines machines ou section de l’usine pendant que les autres sections restent opérationnelles  

En effet, lorsqu’elles sont exposées à 55 degrés, les petites bestioles sont éliminées. Cette technique pratiquée par Rentokil France intéresse Les Moulins de la Concorde qui pourrait bien changer ses méthodes de lutte antiparasitaire, si besoin est, en adoptant le traitement thermique. « La lutte contre les nuisibles est un aspect important dans la vie de l’usine. Un programme détaillé de Pest control est mis en œuvre pendant toute l’année avec notre prestataire de service actuel. Outre un contrôle antiparasitaire effectué à intervalles hebdomadaires, une fois l’an, l’usine arrête la production de farine pendant une période de 7 à 8 jours pour une éradication complète », explique Ivan Yardin, Head miller.  

Ce dernier, accompagné d’un représentant de Hardy Henry, prestataire spécialisé de la lutte antiparasitaire, a assisté à une démonstration de la nouvelle méthode thermique au Grand Moulin de Paris à Nancy, en France du 13 au 16 janvier dernier. Le résultat est bluffant. « Grâce à d’énormes « heaters » placés à des endroits stratégiques, les petites bêtes sont éliminées », dit-il.  

Découvrez des Napoli…ssons chez In Vino !

Vous connaissiez les calissons d’Aix. Mais avez-vous déjà entendu parler des napolissons ? Cette gourmandise mauricienne, dont le nom est une contraction entre napolitain et calisson, est fabriquée à base de melons confits, d’amandes blanchies, d’écorces d’orange confites et recouverte d’un fin glaçage. Proposée par In Vino sous la marque Calissons Dodo, elle est disponible fourrée (caramel-amande, chocolat-noix, coulis de fraises des bois) ou nature. Cette confiserie est une création signée du Maître confiseur Giovanni Catherine.  

Ce dernier fourmille d’idées. Pour la fête des mères, il imagine ses napolissons fourrés au coulis de tamarin, longane et letchi. « Comme toute confiserie, le processus de fabrication demande beaucoup d’attention et de temps. Tout est fait maison », souligne Giovanni Catherine. Entre lui et le sucre, c’est une longue histoire d’amour. Il est à l’origine de Catsucre, des sucres en morceaux à Maurice. Sa reconversion dans la confiserie n’était qu’une question de temps. Aujourd’hui, son atelier est le royaume des bonbons : sucres d’orge et pastilles limons éveillent la nostalgie des plus grands et font le bonheur des petits.  

Depuis la sortie des confinements, In Vino fait découvrir à sa clientèle de nombreux produits locaux fabriqués par des artisans talentueux et passionnés. « Cela est possible grâce à notre détermination chez In Vino de toujours rechercher de nouveaux fournisseurs au label Made in Moris, cela afin d’offrir une variété de produits à nos fidèles clients », affirme Sonia Planel, Manager.   

Pour plus de renseignements : T : 433-8839, Email : invino.avipro@eclosia.com

Comment fonctionne un vaccin ?

Le corps humain est en contact régulier avec des agents pathogènes : ce sont les bactéries, les virus, les parasites ou les champignons. 

Chaque agent pathogène est composé de parties uniques : ce sont les antigènes. Pour se défendre contre les antigènes, notre système immunitaire développe des anticorps qui agissent comme des soldats : ils attaquent les agents pathogènes pour les détruire. Notre système immunitaire a des milliers d’anticorps, chacun correspondant à une seule bactérie ou un seul virus.  

Quand nous sommes exposés à un nouvel agent pathogène, le système immunitaire a besoin de temps pour comprendre qu’il ne le connait pas encore et pour fabriquer de nouveaux anticorps. Une fois que le système immunitaire a créé ces nouveaux soldats, ceux-ci peuvent le défendre. Le système immunitaire garde ensuite en mémoire cet anticorps et peut le reproduire rapidement si on est de nouveau exposé à l’agent pathogène. Ce qui nous évite de tomber gravement malade.

© OMS – Organisation Mondiale de la Santé

C’est là qu’intervient la vaccination. Au lieu d’attendre d’être exposé à un agent pathogène dangereux et de risquer que le système immunitaire ne mette trop de temps à réagir, on décide de prendre les devants.

Les vaccins contiennent des antigènes affaiblis ou inactifs d’un virus/d’une bactérie, ou encore le plan de fabrication des antigènes d’un virus/d’une bactérie. Injectés dans l’organisme, ceux-ci vont provoquer une réponse de notre système immunitaire qui va créer des anticorps pour se défendre. C’est cette petite dose, inoffensive, qui permettra au système immunitaire de réagir immédiatement quand on sera en contact avec le virus ou la bactérie réelle. 

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