Vivement le deuxième ! Parce que pour un artiste, l’œuvre n’est jamais achevée : j’ai encore des rêves musicaux à réaliser avec eux. Je me suis redécouvert à travers eux. Et puis le partage avec l’équipe a été fantastique… ça n’a pas de prix. Pour toutes ces raisons-là, je reviens !
« Cendrillon » et « Grandeur nou lam » avec Samudio parce qu’il y avait beaucoup d’émotions. Et puis j’ai aimé la fin car c’était festif. Vous savez on écrit une chanson, mais l’entendre chantée par d’autres personnes… C’est impossible de décrire ce que l’on ressent. On se pose la question « c’est bien moi qui l’ai écrite ? » C’est ce que j’ai vécu comme expérience avec Eclosia.
C’est important d’avoir de la discipline. On peut me coller toutes sortes d’étiquettes. Je me remets en question en permanence, ce n’est pas qu’avec les autres que je suis dur. J’ai envie de mieux faire… On peut tous mieux faire.
Je pense qu’on était trop confiant le deuxième soir. On a cru que c’était dans la poche. Et là, l’adrénaline n’était plus là, on a perdu un peu de punch ! Sans le trac, c’est comme si c’était acquis. Il faut toujours aller chercher le petit plus…
Oui, cela aurait peut-être été mieux parce qu’on était bien lancé. Le confinement a joué les trouble-fêtes, c’est sûr. La Covid-19 nous a ralenti et nous a appris l’humilité. Au début il y avait une bonne dynamique, puis après on s’est perdu. Il a fallu tout recommencer, même les musiciens avaient oublié les accords. Cela a pris un peu de temps pour redémarrer la machine et rentrer de nouveau dans le bain. De l’autre côté, la Covid-19 a du positif car elle nous a réunis. Au final, qu’est-ce qu’on retient de tout ça ? On a vécu un instant unique.
La parole aux artistes ! Ils racontent leur moment préféré du spectacle Metis : un moment fort, une anecdote, une surprise ou encore ce dont ils avaient le plus peur…
Comment décririez-vous votre expérience Chantefrais jusqu’ici ?
J’ai ouvert mon Chantefrais en novembre cette année aux Résidences Mangalkhan. Je pensais qu’on ne ferait que découper du poulet ! J’étais loin d’imaginer toutes ces étapes, et ces procédures à suivre et toute la chaîne de production derrière une franchise Chantefrais. J’ai vraiment été impressionné. C’est du sérieux et c’est très intéressant.
2020 a été une année particulière… Comment ça s’est passé pour vous ?
Mon métier d’origine est menuisier. Depuis mon accident, il y a quatre ans, je souffre de ma jambe. 2020 a été l’année de ma reconversion. J’ai été inspiré et encouragé par ma tante qui gère un Chantefrais à Beau Bassin. Je ne le regrette pas, j’ai de nouveaux clients chaque jour. Je me donne le temps de faire grandir mon entreprise.
Un conseil à ceux qui hésitent encore à franchir le pas de l’entreprenariat ?
Il y a de l’avenir, à condition d’être sérieux !
Comment décririez-vous votre expérience Chantefrais jusqu’ici ?
Depuis 2000, nous avons toujours été soutenus dans toutes nos démarches par l’équipe Chantefrais. Nous n’avons pas eu de gros soucis. Bien sûr, il y a eu des hauts et des bas, avec des clients qui partent. Mais on est toujours parvenu à s’en sortir.
2020 a été une année particulière… Comment ça s’est passé pour vous ?
Cette année, j’ai repris l’échoppe de mon père qui l’a lancée à l’origine. Le confinement a été contraignant car nous n’avons pas travaillé pendant deux mois. Mais 2020 nous a appris à nous adapter. Je fais désormais du Lean management, c’est-à-dire que j’essaie de ne pas avoir trop de stock pour éviter le gaspillage.
Un conseil à ceux qui hésitent encore à franchir le pas de l’entreprenariat ?
Il ne faut plus hésiter et aller de l’avant. Ce n’est pas un métier facile, on travaille sept jours sur sept. Mais c’est un métier qui offre beaucoup de bénéfices.
Sur son site web, re-découvrez ce projet né d’un partenariat entre le groupe Eclosia et Clear Reef International. Odysseo, ce sera bien plus qu’un aquarium : la mission d’Odysseo est de faire évoluer les mentalités et faire comprendre qu’il est essentiel de préserver toutes les merveilles de nos écosystèmes marins.
une ouverture, une collaboration gourmande, de l’art là où on ne s’y attend pas, des employés qui ont soif d’apprendre, une campagne réussie … Rien que des good news !
Les entreprises ont fait preuve de beaucoup d’imagination en réalisant leur déco de Noël. Elles se sont tournées vers l’upcycling, c’est-à-dire le recyclage, pour créer une décoration unique à peu de frais. Palettes en bois, pneus usagés, pots de yaourt, morceaux de bois, quelques pots de peinture et le tour est joué… Il ne faut pas grand-chose pour fabriquer des merveilles.
La preuve en images.
Le temps d’une soirée, venez oublier (et enterrer comme il se doit !) cette année 2020 tourmentée !
Pour cela, les hôtels Indigo mettent les petits plats dans les grands pour faire de votre soirée du 31, un instant magique aux souvenirs inoubliables. Décors splendides, gastronomie raffinée et ambiance festive… tout y est.
Un menu spécial est également proposé dans les restaurants des hôtels Indigo pour le réveillon de Noël.
Si vous souhaitez une soirée plus intimiste, optez pour The Address Boutique Hotel. Ses restaurants La Fourchette et Izumi sauront vous accueillir avec de succulents menus. Rendez-vous au Underground Late Night Bar après le dîner pour danser jusqu’au bout de la nuit au son des meilleurs tubes des années 80 à nos jours !
Vous aurez la possibilité de prolonger la fête avec une nuit à The Address avec petit-déjeuner le lendemain.
Le très tendance Hennessy vous attend pour une fête de folie. Rendez-vous à Grain d’SEL et à SushiMe pour un festival de saveurs. Comptez ensuite sur les DJ du Backstage Lounge Bar pour enflammer les platines jusqu’au bout de la nuit !
Et pour faire de votre réveillon une soirée d’exception, prolongez-la avec une nuit à l’hôtel suivie d’un petit-déjeuner le lendemain pour 2 personnes.
Au Suffren Hotel & Marina vous pourrez réveillonner avec vue sur la marina avec un somptueux buffet. Après le dîner, rendez-vous dans les jardins du Suffren pour faire la fête jusqu’au bout de la nuit aux sons des DJ du Pink Socks Seafront Bar.
Pour éviter la route, vous pouvez profiter d’une nuit au Suffren avec petit-déjeuner le lendemain pour 2 personnes.
Ce sera toujours gastronomique au Labourdonnais, devenu légendaire pour ses soirées de gala avec un menu spécial concocté par le chef Nizam Peeroo.
Prolongez la fête au Suffren avec piste de danse et DJ au bord de la marina
Pour réserver, faites le 403 7205.
Le 25 décembre, The Address organise aussi un superbe brunch de Noël pour des moments gourmands et magiques en famille. Les plus petits pourront même profiter d’une partie de pêche gratuite avec le Père Noël.
Encore une nouveauté cette année : The Address Boutique Hotel organise un Food, Art, Craft & Entertainment (FACE) Market le samedi 19 et dimanche 20 décembre. De midi à 21h30, sur la place du Village, vous pourrez vous balader parmi les différents stands et rencontrer les artistes et artisans tel que Indoor Jungle, Suis le Lapin blanc ou encore Gaël Froget, entre autres. Le bon plan parfait pour trouver vos cadeaux de Noël de dernière minute.
Pendant tout le week-end des animations en tout genre seront proposées pour les enfants et pour toute la famille, avec notamment des parties de pêche, du karaoké, de la musique live ou encore des portraits de famille par un photographe professionnel !
Entrée gratuite !
Pour les fêtes, pourquoi ne pas opter pour des produits locaux issus d’ateliers et de petites entreprises 100% mauriciens ? In Vino a en magasin une belle variété de produits festifs et gourmands.
De la pâte à tartiner ayant comme base du caramel, ça sent bon les vacances ! Des saveurs chocolat noir-noisettes / beurre salé / spéculoos sont aussi disponibles.
Un mix de mangue, papaye, letchi pour une petite gourmandise.
Le miel polyfloral aux nuances subtilement poivrées est issu de ruches situées entre Palmar et Beau-Champs.
En voilà d’étonnantes associations pour de la confiture :
pomme d’amour – Piment / Ananas-Vanille / Pomme-Cannelle / Citron-Menthe... A vous de choisir !
Sans chocolat, pas de fête ! La chocolaterie propose des chocolats fourrés, orangettes, mendiants, chocolat noir rhum-raisin et des tablettes noir/lait/blanc.
Du foie gras mi-cuit en tin – nature / tamarin / baies roses / aux fruits / piment d'Espelette et des pots de rillettes de canard sont proposés.
Dans le Trait d’Union spécial Eclosia Way, nous vous avons présenté les Leadership Competencies.
Chaque édition mettra maintenant en lumière l’un de nos talents.
Kursley Vellin est tout jeune lorsqu’il débarque chez Panagora après sa HSC en 2000. Avant d’être promu Warehouse executive, il occupera plusieurs postes : Data operator, Stock reconciliation officer, Stock controller et Business Support Executive. C’est sa passion pour les technologies de l’information et de la communication qui lui ouvre de nouvelles perspectives.
Aimant les challenges, il participe à la mise en place du système informatique. « Je pense que la meilleure façon de grandir c’est de se donner les outils nécessaires, de ne pas avoir peur des défis et de montrer qu’on est digne de confiance. »
Le confinement a permis de révéler d’autres aspects de sa personnalité : leadership, grande capacité d’écoute et esprit d’équipe. Il a été amené à diriger une équipe de 60 personnes dans une ambiance souvent tendue où chaque jour apportait son lot d’incertitudes. Une gestion au jour le jour ! Une période malgré tout riche en événements, en défis à relever et en transformations personnelles. Kursley Vellin confie que depuis, il est un peu moins timide :
« Je me suis jeté à l’eau ! »
ECS ne sera plus la même sans Krishna Rambacus plus connu comme Jeewan, et Shahanand Kheerodhur. A eux deux, ils cumulent 75 ans d’ancienneté au sein du Groupe. A quelques semaines de leur départ en retraite ils reviennent, non sans émotion, sur ces années de bons et loyaux services.
« Voilà, le jour de ma retraite est arrivé. Je n’aurai pas pensé que ce jour puisse arriver si vite… 43 ans passés chez Eclosia, mo finn byen travay me mo pa sagrin.
J’ai commencé comme Chick catcher. Nous étions 13 hommes à faire ce job. Je me revois pédaler à toute vitesse jusqu’à Phoenix, où se trouvait la ferme, pour aller attraper des poules le matin. J’ai ensuite occupé le poste de planton quelques années avant d’être promu Chief Messenger. J’ai aussi eu le plaisir d’être le chauffeur de Michel de Spéville. Missie Michel ene gran dimounn. Bisin rapid pou travay ek li. Faire ses adieux c’est plutôt difficile. J’ai énormément appris au cours de mon parcours… plus que je ne l’aurai pensé.
Je dis merci à tous les membres de mon équipe ainsi qu’à mon responsable.
Quant à moi, je vais profiter de ma retraite. »
« Mo finn byen contan travay isi. »
Avant de s’occuper des jardins d’ECS et de La Carrière en 1988, Kheerodhur a été gardien dans un hôtel du sud.
« A l’époque nous n’étions que deux et l’espace à nettoyer et à jardiner était bien plus grand car il y avait moins de voitures. Vingt ans plus tard, je change de poste pour m’occuper du lavage des voitures. Tou loto mone lave e bann klian inn byen satisfe. Je suis passé par des moments difficiles avec la crise car il n’y a plus eu autant de voitures à laver.
A 68 ans, je vais désormais profiter de ma retraite. Je ne resterai pas les bras croisés : je vais enfin pouvoir bricoler à la maison. »
Annick Bellepeau, Accountant, a pris sa retraite après une riche et longue carrière de 38 années. Deux de ses collaboratrices témoignent de son professionnalisme et de son grand cœur.
Françoise Deville, Accounts Officer :
« J’ai collaboré avec Annick pendant 25 ans. Elle m’a aidé à avancer professionnellement et a toujours fait preuve de patience et de compréhension. Elle est une bosseuse hors pairqui s’est donnée à fond dans tout ce qu’elle a entrepris. Bien sûr il y a eu des hauts et des bas… Mais ensemble, avec l’équipe, nous sommes parvenus à surmonter les difficultés. Je lui souhaite de profiter de sa retraite bien méritée et de tout ce que la vie a à lui offrir. »
Meenatchee Arian Kim Luck, Accounts Payable Process Analyst:
« Je dis chapeau à Annick ! Pour moi, elle est une hardworker incomparable ! Très méticuleuse, toujours up-to-date, elle a inspiré beaucoup de ses collaborateurs. J’ai moi-même beaucoup appris d’elle pendant les dix années où je l’ai côtoyée. Bosseuse d’un côté, et très proche de nous d’un autre, elle avait trouvé le juste équilibre. Annick va nous manquer ! »
Un gagnant sera tiré au sort parmi les bonnes réponses
et recevra une surprise…
une vraie.
Et de deux ! Pour marquer la Journée internationale des déchets électroniques, NML a organisé le 7 novembre pour la deuxième année consécutive une collecte de déchets électroménagers, en porte–à–porte chez les employés avec l’aide d’un camionneur. 648 kg de déchets (machines à laver, réfrigérateurs, télés, téléphones mobiles, etc) ont été collectés contre 512 kg en 2019.
Voilà des déchets qui ne se retrouveront pas en bord de route ni à Mare Chicose mais qui seront traités par le recycleur BEM, lui-même dûment enregistré auprès des autorités. Une visite chez le recycleur a d’ailleurs aussi été organisée pour conscientiser les employés.
C’est fou ce qu’on peut faire avec quelques pots de peinture, des crayons, une bonne dose de talent.
Au département Production des Moulins de la Concorde, les employés ont pris les devants pour embellir leur lieu de travail. Sur tout un étage, les murs et les machines ont été repeints. Mieux encore : l’un des grands murs a inspiré le chef meunier Ivan Yardin et l’artiste-Operator cleaner, Miguel Rose. Muni de crayons, ce dernier a reproduit en grand format la fresque d’un moulin à vent hollandais. Qui a dit que l’art ne pouvait être admiré qu’au musée ?
La côte ouest s’anime ! Pick N Eat ouvre un nouveau KFC à Tamarin. Le restaurant sera situé dans le nouveau centre de Super U à Cap Tamarin. Avec une soixantaine de places, il ouvre ses portes dans quelques jours !
Les nouveaux défis de MauAcadémie
Ils ont soif d’apprendre ! En cette période post-covid, Maurilait est plus que jamais solidaire, y compris au sein de son académie interne. Cela fait plusieurs semaines qu’une vingtaine d’employés de Maurilait, âgés de 20 à 50 ans, suivent des cours d’alphabétisation dispensés par trois employés du département des Ressources humaines. « A cause des aléas de la vie, quelques employés n’ont malheureusement pas eu la chance d’apprendre à lire, écrire ou compter. A travers ces cours d’alphabétisation, nous souhaitons les aider dans leur carrière et pour toute leur vie », indique Christian Maudave, Human Resource Manager.
La transformation digitale a également révélé des carences que l’équipe de MauAcadémie s’active à palier. Plusieurs sessions de maîtrise des outils informatiques sont proposées aux employés. Ainsi, ils ont pu découvrir les fonctions de base d’un ordinateur, et d’autres ont été formés à différents niveaux d’Excel.
Des gaufres pour récolter des fonds à l’occasion des 50 ans d’APEIM (Association de parents d’enfants inadaptés de l’île Maurice), quelle délicieuse idée ! L’association a approché Les Moulins de la Concorde (LMLC) pour mettre au point une recette. Un circuit de distribution sera bientôt mis au point hors du siège de l’association. Eclairage de Catherine Ahnee-Gouérec, Chargée d’Etudes de LMLC.
De quand date cette initiative ?
L’APEIM est venu nous rencontrer à la fin du mois d’août. L’association nous a expliqué qu’elle cherchait un produit « signature » à fabriquer dans son atelier de cuisine pour assurer une activité à quelques membres adultes tout en générant des revenus pour l’association.
Comment LMLC a aidé l’APEIM ?
Nous avons suggéré des gaufres de Liège et avons recherché et testé une recette. L’APEIM l’a adoptée après quelques essais propres. Les Moulins ont ensuite donné des formations aux responsables dans les locaux de Trianon. Nous avons aussi prodigué des conseils sur la validation de la date de consommation et recommandé des emballages écologiques pour lesquels l’entreprise a suggéré des fournisseurs. L’APEIM a employé, sur une base temporaire, Mollie, une des participantes de la formation NC3 dispensée par les Moulins, encore en attente de ses résultats et très présente au centre de formation.
Présence de ferments actifs et conservation du yaourt aux Seychelles :
une campagne réussie
Les pots de yaourts sont désormais stockés au frais dans le réfrigérateur. Cela grâce à une campagne de communication intensive à la radio, à la télévision et sur Facebook, d’août à septembre, pour éduquer les consommateurs seychellois sur la meilleure façon de conserver leur Yoplait. Le yaourt est produit dans l’archipel par Maurilait depuis un an. N’étant pas encore familiarisés aux bienfaits et aux spécificités d’un yaourt, les consommateurs stockaient leur yaourt à température ambiante ce qui mettait à risque le maintien de la qualité des produits. C’est désormais clair pour tous. La campagne a aussi mis en avant que Yoplait contient des ferments actifs bons pour la santé, que Yoplait est « Proudly Made in Seychelles » et participe à l’économie locale.
Le corps humain est en contact régulier avec des agents pathogènes : ce sont les bactéries, les virus, les parasites ou les champignons.
Chaque agent pathogène est composé de parties uniques : ce sont les antigènes. Pour se défendre contre les antigènes, notre système immunitaire développe des anticorps qui agissent comme des soldats : ils attaquent les agents pathogènes pour les détruire. Notre système immunitaire a des milliers d’anticorps, chacun correspondant à une seule bactérie ou un seul virus.
Quand nous sommes exposés à un nouvel agent pathogène, le système immunitaire a besoin de temps pour comprendre qu’il ne le connait pas encore et pour fabriquer de nouveaux anticorps. Une fois que le système immunitaire a créé ces nouveaux soldats, ceux-ci peuvent le défendre. Le système immunitaire garde ensuite en mémoire cet anticorps et peut le reproduire rapidement si on est de nouveau exposé à l’agent pathogène. Ce qui nous évite de tomber gravement malade.
© OMS – Organisation Mondiale de la Santé
C’est là qu’intervient la vaccination. Au lieu d’attendre d’être exposé à un agent pathogène dangereux et de risquer que le système immunitaire ne mette trop de temps à réagir, on décide de prendre les devants.
Les vaccins contiennent des antigènes affaiblis ou inactifs d’un virus/d’une bactérie, ou encore le plan de fabrication des antigènes d’un virus/d’une bactérie. Injectés dans l’organisme, ceux-ci vont provoquer une réponse de notre système immunitaire qui va créer des anticorps pour se défendre. C’est cette petite dose, inoffensive, qui permettra au système immunitaire de réagir immédiatement quand on sera en contact avec le virus ou la bactérie réelle.